De nouvelles données montrent l’impact de la pandémie sur la façon dont les Américains ont passé leur temps en 2020

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Si vous n’avez jamais entendu parler de l’American Time Use Survey (ATUS), le moment est probablement venu d’y jeter un coup d’œil, et pour des raisons qui ont récemment recommencé à penser qu’elles pourraient ne jamais vraiment disparaître.

En bref, l’ATUS est une enquête parrainée par le Bureau of Labor Statistics qui mesure le temps que les gens consacrent à différentes activités, allant du travail à la socialisation. Le US Census Bureau est chargé de collecter et de traiter les données.

Comme on pouvait s’y attendre, l’édition 2020 de l’ATUS a été « grandement affectée » par la pandémie, notamment une suspension de deux mois des procédures de collecte de données plus tôt dans l’année. Mais même avec cet écart, comme Ben Casselman et Ella Koeze l’ont souligné dans le New York Times cette semaine, les résultats montrent à quel point la vie quotidienne a été bouleversée pour tant de personnes à travers le pays.

En moyenne, les personnes vivant seules passaient plus de 20 heures par jour soit endormies, soit seules. Le groupe démographique qui a vu le temps moyen passé seul le plus important était celui des personnes âgées, bien que les changements les plus spectaculaires en termes de socialisation aient été observés dans les groupes d’âge plus jeunes.

Ailleurs sur le front de la socialisation, il y avait (comme prévu) des différences hyper-palpables dans la façon dont les gens passaient leur temps libre en 2019 et 2020, avec la télévision et les jeux représentant deux des plus gros pics de mesure du temps passé pour ceux entre les 15 à 24 ans.

Un élément clé de l’ère pandémique, bien sûr, a été le pic facilement détectable du nombre de personnes qui travaillaient à domicile à temps plein. Le Bureau of Labor Statistics des États-Unis avait auparavant accordé une attention particulière au fait que le pourcentage de personnes employées travaillant à domicile les jours où ils travaillaient avait presque doublé pendant la pandémie, passant à 42 %.

Alors que nous avançons en 2021, les préoccupations actuelles aux États-Unis restent axées sur l’augmentation du taux de vaccination à l’échelle nationale au milieu de problèmes provoqués par des variantes.

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