Superman ’78 ramène une puissance que le DCEU de Zack Snyder ne pourra jamais récupérer

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Superman ’78 se distingue par une approche de retour aux sources d’un homme d’acier sincère qui ne pouvait pas s’intégrer dans l’univers étendu de DC, moralement complexe.

AVERTISSEMENT : ce qui suit contient des spoilers pour Superman ’78, en vente maintenant chez DC Comics.

Il y a peu de personnages aussi emblématiques que Superman, et les années 1978 Superman : le film est toujours l’une de ses représentations les plus marquantes à ce jour. Depuis que Superman de Christopher Reeve a pris son envol, le personnage a subi de nombreuses mises à jour et transformations au cours des décennies suivantes. Au moment où Henry Cavill Superman a pris son envol en 2013 Homme d’acier, la version du héros de DC Extended Universe était un personnage beaucoup plus violent et moralement en conflit que le héros brillant d’antan.

Cependant, la bande dessinée Superman ’78 ravive la version Christopher Reeve de Superman et offre un aperçu de ce qui a été perdu au cours de toutes les années qui ont suivi. En puisant dans les valeurs fondamentales du personnage, cette série a souligné ce qui rend vraiment cette version de Superman exceptionnelle.


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Superman 78

Peut-être le plus grand charme de Superman ’78 vient en restituant la magie que les films originaux avaient déjà. L’écrivain Robert Venditti, Wilfredo Torres, Jordie Belaire et Dave Lanphear travaillent tous pour produire une histoire qui transporte le lecteur dans le monde de la fin des années 70 de la franchise. Là-bas, Lois Lane est une journaliste qui parle vite qui traîne le naïf mais sournoisement héroïque Clark Kent dans le contexte de méchants comme Lex Luthor, qui sont autant intéressés à se vanter de leurs prouesses criminelles qu’à conquérir le monde. Ce Superman a une confiance facile, un toucher doux et défend les idéaux auxquels il croit avec certitude,

Tout cela le rend bien loin du Superman du DCEU. Homme d’acier et Batman contre Superman : L’Aube de la justice tous deux ont transmis le point de vue du réalisateur Zack Snyder sur le personnage, qui était plus rapide à ruminer que de sourire et qui habitait un monde sombre et violent de conflit moral constant. Alors que le Superman de Snyder rend hommage à son symbolisme et à son statut de parangon éthique, il le met davantage en œuvre à travers une iconographie lourde et une discussion philosophique prolongée. En contraste frappant, Superman ’78 fait de la défense de la vérité et de la justice une décision simple que le héros incarne dans sa posture décontractée et ses plaisanteries ringardes autant que toute autre chose.

Une scène dans Superman ’78 #2 s’avère un bon point de comparaison. Là, Lex Luthor est la cible d’une blague lorsqu’il se vante de son génie criminel superlatif lors d’un entretien d’embauche où il est simplement en train de passer un entretien pour travailler dans une cafétéria. Il rentre chez lui dans un appartement dérisoire, enlève sa perruque et tombe nez à nez avec Superman. Superman lui rappelle que la commission des libérations conditionnelles de Luthor lui a demandé de garder un œil sur Luthor, et il a un morceau de Brainiac qui demande humblement l’aide de Luthor pour l’examiner. Il s’agit d’un va-et-vient ludique entre un héros et un méchant qui parle des aspects les plus hokies de leur réalité tout en communiquant un message moral important : personne, même Lex Luthor, n’est au-delà de l’humour ou de la rédemption.

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En comparaison, l’interaction entre Superman et Luthor dans Batman contre Superman n’a aucun caractère, ni amusement, ni impact dans la représentation de son message moral. Là, Luthor livre de longs monologues philosophiques sur les idées du bien et du mal tout en mettant en scène un complot alambiqué qui met finalement en péril la vie de Superman et celle de ses proches. Ses aspects les plus ridicules sont joués si directement que le public n’est clairement pas censé se moquer de lui même autant qu’il pourrait être enclin, et pour tous les gestes vers le réalisme et la complexité morale, le résultat est tout aussi caricatural que la performance de Gene Hackman en 1978.

Si Superman est vraiment censé être un symbole d’espoir, alors c’est le héros craché de Superman ’78 qui incarne vraiment ce symbolisme. Le sort du personnage sur le grand écran reste un mystère alors que les studios et les créateurs tentent de déterminer l’avenir du DCEU. Cependant, Superman ’78 montre à quel point il vaut la peine de s’en souvenir. Si de futurs films pouvaient capturer cette magie aussi efficacement que ces bandes dessinées, les meilleurs films de Superman à ce jour pourraient être à l’horizon, prêts à donner au public le merveilleux optimisme qui lui permet de croire qu’un homme peut voler.


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