Un pays africain demande à Mike Tyson de devenir son « ambassadeur du cannabis »

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Selon BBC le pays du Malawi espère recruter l’ancien champion de boxe poids lourd Mike Tyson pour devenir leur « ambassadeur du cannabis » officiel alors que le pays cherche à capitaliser sur le marché légal en plein essor de la marijuana.

Le ministre de l’Agriculture du Malawi, Lobin Low, a envoyé une lettre à Tyson lui offrant officiellement le poste. Le ministère affirme que l’Association du cannabis des États-Unis tente de faciliter un accord entre le Malawi et « Iron Mike ».

Tyson est bien connu pour sa consommation de cannabis. Son podcast populaire ‘Hotboxin » porte généralement bien son nom, Tyson participant aux enregistrements. Tyson a également investi dans l’industrie du cannabis. Il exploite à la fois Tyson Ranch, un complexe de cannabis de 420 acres, et Tyson 2.0, une entreprise qui produit des variétés originales.

BBC affirme que Tyson a accepté l’offre du Malawi et qu’une visite dans ce pays d’Afrique du Sud-Est est prévue.

Le Malawi a légalisé la culture et la transformation du cannabis à des fins médicales en 2020. Cependant, l’usage récréatif est toujours interdit. Une variété de cannabis cultivée localement, nommée Malawi gold, est bien connue des consommateurs récréatifs du monde entier.

Citant un porte-parole du Malawi BBC a rapporté que le pays espère utiliser Tyson pour « attirer certains investisseurs et même des acheteurs potentiels » pour travailler sur le marché de la marijuana au Malawi.

La décision de recruter Tyson a été critiquée par le Center for Public Accountability, un groupe de la société civile au Malawi. Ce groupe a déclaré qu’en raison du casier judiciaire de Tyson, le gouvernement ne devrait pas le rechercher pour ce genre de stratagème.

Tyson a été reconnu coupable de viol en 1992 et a purgé une peine de trois ans de prison.

« L’APC ne comprend pas pourquoi le Malawi voudrait avoir un violeur condamné comme ambassadeur de sa marque », lit-on dans une déclaration du directeur par intérim du groupe, Kondwani Munthali. « Surtout, en ce moment, où les efforts pour lutter contre la violence à l’égard des femmes font partie de l’agenda du gouvernement. »

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