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La Premier League est très réactive. Ces derniers jours, une vague de panique a ravagé le football anglais face à la multiplication des cas positifs de covid-19. De nombreux clubs (au moins 5) ont été touchés et certains plus que d’autres. Manchester United, par exemple, a dû fermer son centre d’entraînement et n’a pas pu affronter Brentford.
Une recrudescence des cas pris très au sérieux, à tel point qu’un scénario catastrophe, à savoir l’arrêt du championnat, était jugé loin d’être utopique. Aujourd’hui, les formations britanniques font donc tout pour ralentir la propagation du virus au sein de leurs effectifs.
Visez le portefeuille
la Fois indique qu’une première mesure serait de mettre en place des postes de contrôle autour des centres d’entraînement et des stades. Le but ? Que les joueurs et le staff restent dans leur voiture, passent un test et ne soient pas autorisés à entrer dans les locaux tant que le test n’est pas négatif. Idem pour les supporters les jours de match. Mais ce n’est pas tout.
Une attention particulière sera portée aux joueurs. Ainsi, en plus de ces tests en voiture, ils seront également testés deux fois par semaine. Enfin, le cas de Joshua Kimmich, qui s’est dit contre le vaccin avant de changer d’avis après avoir été infecté, a donné des idées aux clubs. Alors le Courrier quotidien dit que les joueurs non vaccinés qui sont obligés de manquer l’entraînement et les matchs pourraient voir leur salaire baisser. Face à la difficulté de convaincre une partie de l’utilité des vaccins, la Premier League veut donc frapper là où ça fait souvent mal : le portefeuille.
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