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Sorvino, étant le genre d’acteur naturel et coriace qu’il est, apporte une énergie « extérieure » importante à « Star Trek ». Ce n’est pas un diplomate ou un amiral guindé. C’est un être humain qui s’en soucie. Se livre-t-il à la tromperie ? Oui. Prend-il des mesures imprudentes ? Oui. Mais nous comprenons chacune de ses décisions et sommes invités à comprendre ses choix.
« Star Trek » a une longue réputation de débats moraux, et aucun n’est aussi passionné que la moralité de la directive première. C’est un impératif moral qui s’oppose au credo de Spider-Man. Ce dernier soutient que si l’on a un grand pouvoir, on est éthiquement tenu d’utiliser ce pouvoir pour le bien. Si quelqu’un a le pouvoir d’agir et ne le fait pas, il approuve tacitement le mal qui se perpétue. Le premier croit en la croissance morale organique, comprenant que, dans le vaste champ de la civilisation, la moralité doit se développer à partir d’erreurs. La première directive n’approuve pas la guerre ou les comportements immoraux, mais elle comprend également que la volonté d’une autre personne n’est pas la même chose que d’apprendre une leçon soi-même.
Sorvino est Spider-Man dans ce scénario. Sorvino, rugueux, ne se soucie pas du long bras du développement. Il se soucie de l’impératif moral… de se soucier. Peu d’acteurs ont la présence de se lever face au capitaine Picard, mais bon sang si Sorvino n’en fait pas partie. Vous n’aidez pas ? Bien. Je suis. À la fin de la journée, Sorvino gagne en quelque sorte l’argument. L’éthique réelle devra être débattue une autre fois.
RIPPaul Sorvino. Merci d’avoir donné l’enfer à un capitaine de vaisseau spatial.
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