Kevin Kline n’a jamais compris son personnage dans un poisson appelé Wanda

[ad_1]

Kline avait remporté deux Tonys au moment où il a fait ses débuts au cinéma en 1982 en tant qu’énigmatique Nathan Landau dans « Sophie’s Choice » d’Alan J. Pakula. Il s’est rapidement imposé par la suite comme un leader chaleureux et confortable dans « The Big Chill », « Silverado » et « Cry Freedom ». Il est apparu comme le père de banlieue idéal, un gaffeur décent, un Atticus Finch aux membres lâches.

Pour ceux qui ne connaissent pas les performances de Kline à Broadway, sa gauche dure dans la loufoquerie de « A Fish Called Wanda » a été une surprise. Otto est un maniaque de la première image. Il est parfaitement insaisissable. Ce n’était pas le Kevin Kline dont les cinéphiles étaient tombés amoureux.

Kline possédait plus que la capacité de jouer un fou comme Otto, mais il n’était pas sûr de réussir sur le moment. Comme l’a dit John Cleese, la star du film qui avait également écrit son scénario, dans une histoire orale pour Vanity Fair :

« Kevin faisait des choses extraordinaires. Mais à la fin de chaque prise, il restait toujours là, la quintessence de l’indécision, essayant de comprendre s’il avait le bon personnage. Je ne pense pas qu’il ait jamais fait un prendre il était vraiment heureux. Il y avait toujours une sorte d’expression grognon et douteuse sur son visage. Il restait là à agoniser. Et vous vous y êtes habitué après un certain temps.

[ad_2]

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*