Les mondes se heurtent et la guerre arrive enfin dans Le Seigneur des Anneaux : Les Anneaux du Pouvoir

[ad_1]

Depuis son introduction très attendue, une figure comme Adar (Joseph Mawle) a bénéficié de la mystique intégrée entourant sa place dans le canon. Est-il Sauron déguisé ? Ou un autre personnage obscur tiré du plus profond de la tradition ? Ou peut-être un tout nouveau méchant ? Aussi amusant que cette spéculation puisse être, cependant, tout pâlit par rapport au simple fait de savoir si le personnage s’est engagé ou non à regarder. Après tout, il est terriblement facile pour la chambre d’un écrivain de basculer trop loin d’une manière ou d’une autre en équilibrant entre le maintien d’un sentiment de mystère et la frustration des téléspectateurs en retenant trop et trop longtemps.

Eh bien, ce dernier épisode – écrit par Nicholas Adams, Justin Doble et Payne et McKay – prend le relais de manière considérable avec certains des plus grands personnages de la série révélés à ce stade de l’histoire. Presque comme en réponse à cette plainte même, « Udûn » s’ouvre sur Adar plantant des graines à la veille de la bataille mise en place dans l’épisode de la semaine dernière.

« Une nouvelle vie. Au mépris de la mort », marmonne-t-il en elfique à personne en particulier, faisant davantage allusion à ses origines sombres et à son nouveau rôle troublant de « père » pour les orcs. Mais tout autre examen devra attendre. Il y a une bataille à mener et à gagner, bien qu’il prenne au moins le temps de se lancer dans le genre de discours de ralliement à ses sbires qui pourrait facilement être confondu avec celui héroïque qu’Arondir et Bronwyn utiliseront plus tard pour remuer leur propre peuple. Vantant la liberté de l’esclavage, une nouvelle patrie et la possibilité de réparer de graves torts (perçus), Adar présente le massacre prochain des Southlanders comme une cause juste pour laquelle il vaut la peine de se sacrifier.

En ce qui concerne le plan et les motivations du méchant, nous savons seulement que cela implique en quelque sorte les fouilles des orcs dans ce camp de travail, un plan pour masquer le soleil pour ses orcs sujets aux brûlures et la recherche d’une nouvelle maison. Pourtant, bien qu’il soit maintenu dans l’obscurité, « The Rings of Power » nous place de toute façon dans l’espace libre de l’ennemi contrairement à aucun autre conte de la Terre du Milieu que nous ayons connu auparavant.

[ad_2]

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*