Ce qu’Hervé Renard a dit à l’Arabie saoudite lors d’une discussion d’équipe à la mi-temps contre l’Argentine

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Si vous ne connaissiez pas Hervé Renard – double vainqueur de la Coupe d’Afrique des Nations avec la Zambie et la Côte d’Ivoire – avant la Coupe du monde, vous le connaissez certainement maintenant.

Le sélectionneur saoudien a mené son équipe à une première victoire historique contre l’Argentine, dont vous avez peut-être entendu parler. En fait, c’était tellement historique que mercredi a été déclaré jour férié national dans le pays.

Maintenant, des images ont émergé du discours d’équipe inspirant de Renard, livré à la mi-temps avec son équipe 1-0 à l’un des favoris d’avant-tournoi et avec une montagne à gravir en deuxième période.

Et ils ont escaladé cette montagne, avec des buts époustouflants de Saleh al-Shehri et Salem al-Dawsari remportant une victoire mémorable. Les paroles de leur entraîneur ont clairement eu l’effet escompté.

Avec des cheveux comme ça, on aurait dû deviner qu’il sait utiliser le traitement au sèche-cheveux. Pour dynamiser son équipe, Renard a commencé par une simple question : « Qu’est-ce qu’on fait ici ?

Il continue avec intensité, disant à ses joueurs que presser ne veut pas dire s’arrêter pour sortir son téléphone et prendre une photo de Lionel Messi.

« Il a le ballon. Vous êtes devant leur défense ! Il n’a personne ! » crie Renard.

Avec l’aide de son traducteur, Renard l’amplifie encore plus, traversant le vestiaire pour montrer à quel point il veut que ses joueurs soient serrés.

Avant de les renvoyer sur le terrain, le Français engage également son équipe sur le plan émotionnel, les implorant de répondre à l’occasion.

« Tu ne ressens rien !? » il demande. « Vous avez vu ce que vous avez fait !? Vous ne sentez pas qu’on va revenir !? Vous ne le sentez pas !? Ils jouent détendus. Allez ! Allez les gars ! C’est la Coupe du Monde ! Donnez tout ! »

Et ils ont répondu, avec cette conversation d’équipe à la mi-temps qui gagne maintenant un statut emblématique aux côtés de la victoire elle-même. Saluez, Hervé. C’est comme ça que tu le fais.


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