Avez-vous besoin d’un visa pour voyager en Europe ? La nouvelle règle ETIAS fixée pour 2024 est reportée. Ce qu’il faut savoir.

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Les Américains qui envisagent de visiter l’Europe en 2024 n’ont pas encore à se soucier de postuler au nouveau système d’autorisation de voyage de l’Union européenne.

Depuis près d’une décennie maintenant, les autorités de l’Union européenne travaillent sur un système similaire à celui des visas, appelé Système européen d’information et d’autorisation de voyage. Il s’adresse aux voyageurs en provenance de pays « exemptés de visa » comme les États-Unis, et les États-Unis ont un système similaire.

Après plusieurs années de retard, ETIAS devait être mis en ligne en 2024, mais il a été repoussé à mi-2025 car sa base de données d’entrées/sorties n’est pas prête.

Le système ne gère pas encore les demandes, les voyageurs américains peuvent donc attendre un peu plus longtemps pour remplir leurs formalités administratives.

À terme, les voyageurs en provenance de pays exemptés de visa qui souhaitent se rendre dans la plupart des pays de l’UE, ainsi qu’en Suisse, en Norvège, en Islande et au Liechtenstein, devront s’inscrire en ligne. La plupart des gens devront payer des frais de dossier de 7 euros (7,70 $). Tous ces voyageurs, y compris les jeunes enfants, devront en faire la demande.

Les voyageurs du Canada, du Mexique, d’Australie et de la plupart des pays d’Amérique du Sud devront également faire une demande via ETIAS.

L’UE affirme que la plupart des demandes seront traitées en quelques minutes, mais que certaines prendront des jours ou des semaines et nécessiteront des informations supplémentaires. Elle conseille donc aux personnes de postuler bien avant leur voyage.

En supposant que l’autorisation soit accordée, elle sera valable pendant trois ans ou jusqu’à l’expiration du passeport de l’utilisateur, selon la première éventualité. Cette autorisation permettra aux voyageurs d’entrer dans ces pays européens aussi souvent qu’ils le souhaitent pour de courts séjours, qui durent généralement 90 jours sur une période de 180 jours – en supposant que la sécurité aux frontières l’approuve.

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